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Par PATRYCKFROISSART1 le 18 Avril 2009 à 11:13Date: le 02 février 2009 à 02h48
Mes grands-parents ont reçu, un jour de l'été 1935, une lettre d'un élève d'une douzaine d'années. Il racontait qu'avec des gamins de son âge, il avait poursuivi un chien enragé qui rôdait autour de leur village. Dans sa course, le chien s'était brutalement retourné, et sa bave avait atteint le jeune garçon. Inquiet, il alla prévenir sa famille. On lui conseilla d'aller voir un fqih qui saurait le guérir au cas où il aurait été contaminé. Le jeune garçon répondit. "Je ne connais qu'un seul fqih capable de soigner la rage. C'est......."
Devinerez vous à quel fqih ce jeune garçon voulait s'adresser?
Date: le 02 février 2009 à 10h33
Je dirais "ALLAH", ma chère Karaba. Cela fait longtemps qu'on ne vous a pas lu.
Date: le 02 février 2009 à 10h51
Karaba, je donne ma langue au chat...
Date: le 02 février 2009 à 10h52
Je pense que le jeune garçon avait un autre personage dans la tête, mais certainement pas ALLAH car Allah n'est pas un fqih. Peut-être son maître d'école!? Est-ce que tu as une surprise pour le gagnant, chère Karaba?...Amicalement.
Je ne pense pas que je suis le gagnant, ça c'est sûr.
Date: le 02 février 2009 à 10h56
C'était ton grand père, Karaba ?
Date: le 02 février 2009 à 11h01
Menzli, je crois que tu as trouvé!!! N'est-ce pas, Karaba?
Date: le 02 février 2009 à 11h48
Non, je ne pense pas, je ne sais pas si son grand père était fqih ou pas (je le connais pas), mais j'ai proposé cette réponse seulement parce que l'élève s'est adressé à lui.
Date: le 02 février 2009 à 15h08
Vous avez tout faux!Sans commentaire!
Comme tous ceux d'Ahermoumou auxquels j'avais posé cette question. Ils avaient tous répondu :"ton grand-père!"
En 1935, ce jeune Berbère d'Ahermoumou, (Patryck l'a bien connu quand il avait une cinquantaine d'années) avait pensé à PASTEUR!
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Par PATRYCKFROISSART1 le 18 Avril 2009 à 11:09Date: le 02 février 2009 à 02h48
Mes grands-parents ont reçu, un jour de l'été 1935, une lettre d'un élève d'une douzaine d'années. Il racontait qu'avec des gamins de son âge, il avait poursuivi un chien enragé qui rôdait autour de leur village. Dans sa course, le chien s'était brutalement retourné, et sa bave avait atteint le jeune garçon. Inquiet, il alla prévenir sa famille. On lui conseilla d'aller voir un fqih qui saurait le guérir au cas où il aurait été contaminé. Le jeune garçon répondit. "Je ne connais qu'un seul fqih capable de soigner la rage. C'est......."
Devinerez vous à quel fqih ce jeune garçon voulait s'adresser?
Date: le 02 février 2009 à 10h33
Je dirais "ALLAH", ma chère Karaba. Cela fait longtemps qu'on ne vous a pas lu.
Date: le 02 février 2009 à 10h51
Karaba, je donne ma langue au chat...
Date: le 02 février 2009 à 10h52
Je pense que le jeune garçon avait un autre personnage dans la tête, mais certainement pas ALLAH car Allah n'est pas un fqih. Peut-être son maître d'école!? Est-ce que tu as une surprise pour le gagnant,chère Karaba?...Amicalement.
Je ne pense pas que je suis le gagnant, ça c'est sûr.
Date: le 02 février 2009 à 10h56
C'était ton grand père, non, Karaba ?
Date: le 02 février 2009 à 11h01
Menzli, je crois que tu as trouvé!!! N'est-ce pas, Karaba?
Date: le 02 février 2009 à 11h48
Non, je ne pense pas, je ne sais pas si son grand père était fqih ou pas (je le connais pas), mais j'ai proposé cette réponse seulement parce que l'élève s'est adressé à lui.
Date: le 02 février 2009 à 15h08
Vous avez tout faux! Comme tous ceux d'Ahermoumou auxquels j'avais posé cette question. Ils avaient tous répondu :"Ton grand-père!"Sans commentaire!
En 1935,ce jeune Berbère d'Ahermoumou, (Patryck l'a bien connu quand il avait une cinquantaine d'années)avait pensé à PASTEUR!
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Par PATRYCKFROISSART1 le 18 Avril 2009 à 09:45Un Damrani ( qu'il me pardonne !!) avait faim.
Mais tout ce qu'il avait trouvé devant lui à dévorer consistait en un simple morceau de pain.
Après qu'il eut fini de le manger, sa femme lui apporta un bol d'huile d'olive.
Sans attendre il avala d'un seul coup tout le liquide qui était dans le bol et il commença à sauter à droite et à gauche dans toute la pièce.
Sa femme, toute inquiète, lui demanda ce qu'il lui arrivait.
Le Damrani lui répondit tout simplement qu'il était en train de mélanger, par ses sauts, le pain qu'il avait mangé auparavant et l'huile qu'il venait d'avaler.
Auteur: toumi10
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Par PATRYCKFROISSART1 le 16 Avril 2009 à 13:25Quelqu'un connaît cette histoire ?
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C'était il y a très longtemps à Kahf Azrou.
Un Yazghi trouva la lampe d'Aladin qui traînait par là (wa yy'a bbabba ch had ch'i!). Finalement le Yazghi reconnut la lampe et la frotta. Le génie apparut, fit une révérence, et proposa :
- Je suis à votre service, maître. Faites un vœu, et il sera exaucé. Mais vous n'avez droit qu'à un seul vœu.
Comme il était un "bon" fils, le yazghi demanda :
- Je voudrais que tu ressuscites ma mère morte (bghitek t7yyi yemma dimattate, ll'ah yer7am lwallidine).
Le génie fit la moue :
- Je regrette, maître, mais c'est un vœu impossible. Demandez-en un autre.
Le Yazghi :
- iwa liyy'ah. hadi hiyya diyalak... rak gen z3mma !
Comme le Yazghi était un vrai Yazghi, il demanda :
- Wakh'a assidi, fais en sorte que les gens de lballadiya (municipalité) fassent bien leur travail et par la même occasion, qu'ils arrêtent un peu de nous prendre pour des imbéciles après chaque élection.
Le génie avala sa salive :
- Ce... Comment avez-vous dit que s'appelait votre mère ?
Auteur: encoreUnYazghi
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Par PATRYCKFROISSART1 le 16 Avril 2009 à 12:41Pour rire un peu (certains connaissent sans doute cette histoire):
Cette année-là, Kader le Yazghi n'avait pas beaucoup d'argent. L'Aïd approchant, il fallait bien pourtant acheter un mouton. Kader se désolait en voyant, d'un souk à l'autre, ses voisins acheter de gros moutons bien dodus, dont il entendait avec envie les bêlements puissants retentir dans toutes les maisons du quartier.
Finalement, Kader dut se résoudre à acheter un tout petit mouton, maigre et chancelant sur ses pattes fragiles. Devant les sourires moqueurs qu'il rencontra sur le chemin du souk à la maison, il prenait un air fanfaron et disait: "Celui-là, je vais l'engraisser pour l'Aïd de l'année prochaine...".
Arrivé à la maison, il fut reçu fraîchement par son épouse:
" Ouili, ouili, ouili! Qu'est-ce que c'est que ça? Un lapin pour l'Aïd, Que vont dire les voisins? N'entends-tu pas les béééé sonores de leurs vrais moutons à grandes cornes?"
Mais Kader avait son idée.
"Scout iwa! Tu vas bientôt l'entendre, mon bélier!"
Et, dans la pièce réservée, Kader mit sur la tête de son petit mouton un grand seau et lui dit"Allez, bêle!"
Grâce à la caisse de résonance que constituait le seau, le frêle bêlement se transforma en un cri énorme, qui fit tendre l'oreille aux voisins et suscita leur admiration:
" Eh bien! Kader a enfin acheté son mouton! Et il doit être superbe, pour bêler aussi fort".
Kader recommanda à son mouton de ne bêler que sur son ordre, à certains moments de la journée, où il venait lui mettre le seau sur la tête.
Tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes. Kader était fier, ses voisins lui parlaient de la force vocale de son mouton avec envie, et sa femme ne disait plus rien.
Voici qu'un jour, Kader, fort occupé aux champs, oublia de rentrer toutes les deux heures à la maison pour faire bêler son mouton.
Au soir, quand il se rendit compte du problème, il se précipita chez lui.
Et là, il trouva son mouton désespéré, qui retenait depuis le matin son envie de bêler, les deux pattes de devant sur la bouche, et qui chuchota en le regardant avec des yeux suppliants "Béééé, béééé!".
Il était temps! Le petit mouton n'en pouvait plus.
Kader lui enfila vite le seau sur le museau, et le mouton libéré put faire résonner ses bééé dans tout le village!
Tout est bien qui finit bien, alhamdoulillah!
Histoire rapportée par froissart
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