• Alain et Irène Levallois ont passé de nombreuses années à El Menzel, où Alain enseignait au lycée.

     Leur fille Anne y a vécu ses premières années d'enfance.

    En 2010, nostalgiques d'El Menzel, tous trois ont voulu revenir au bled, accompagnés du mari d'Anne et de leurs trois enfants.

    Ils ont séjourné à AÏn Dqouq, accueillis par la famille GADI.

    Ils nous offrent ici les photos de leur séjour en avril 2010:

     

    L'émotion des retrouvailles: Anne avec la nounou de son enfance, Fatima

     
    Alain Levallois a revu son ami et ancien collègue Si Abdeslam
     
     
    La famille Levallois devant la première maison où ont vécu Alain, Irène et Anne
     
     
    C'est ici, à Jnan Loota, qu'ils eurent leur seconde résidence
     
     
    Photos du séjour de retour:
     
    Le souk:
     
     
    Panorama:
     
     
     
    En descendant du caïdat:
     
     
    La poste fermée
     
    En contre-bas du caïdat
     
     
    L'esplanade des cafés
     
    La mosquée centrale
     
    Les bouchers
     
     
     
    Chargement
     
    Les alentours
     
    Une rue du vieux douar
     
    Scènes au marché: lfoul
     
    Alain Levallois se retrouve transporté 30 ans plus tôt

     


     
    Pas un pas sans rencontrer une ancienne connaissance
     

     

     
     
    La boutique d'Abdelwahab
     
     
    Dans la famille d'accueil:
     
     
    Les keftas
     
    Un bon repas beldi en famille
     
    Eh oui, à El Menzel aussi nous avons Internet!

    Les enfants de tous les pays savent s'amuser ensemble
     
     
    Un étonnant dispositif pour le franchissement de l'oued
     
     
     
     
    Le barrage Allal El Fassi
     
     
    Après avoir beaucoup marché
    On a besoin du cordonnier
     
     
    Le tourisme, cela donne faim.
    Heureusement, les sfenj sont là...
     
     
     
     

    9 commentaires
  •  

    Auteur: 7ab riro [MPAjouter ce membre dans mes favoris
    Date: le 22 décembre 2009 à 00h57



    Cet homme peut-il être décrit comme féministe par notre société actuelle?

    C'était un commercant de bétail (sbaybi).

    Chaque semaine il partait aux grands souks des alentours de la région des beniyazgha pour vendre ses animaux .

    Il avait du succès ce sbaybi et il rapportait beaucoup d'argent à la maison.

    Pour être sûr de son bénéfice il avait l'habitude de s'asseoir en rentrant et de mettre son argent devant lui par terre pour le compter une deuxième fois, alors que sa femme regardait sans avoir le droit de toucher les billets (contrairement à ce qui se passe aujourd'hui!).

    Sa femme se contentait de lui poser la question "iwa ch7al jebt had nhar a rrajal": de combien est ton bénéfice aujourd'hui?

    La réponse était toujours la même : Jebt bach njib 10 b7alak: j'ai fait assez d'argent,.assez pour avoir 10 autres femmes ( c'est aussi différent de ce qui se passe aujourd'hui! ).

    C'est à vous d'applaudir ou de critiquer notre ami sbaybi pour son comportement envers sa femme...


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  • stylo bic

    Auteur: mkoudia [MPAjouter ce membre dans mes favoris
    Date: le 21 décembre 2009 à 20h54

     

    Nous sommes à Ouled Meriane. Les poules de Ssi X viennent souvent picorer dans le champ de blé de son voisin. Exaspéré, le voisin s'en va se plaindre au responsable du village pour régler définitivement le différend. Le responsable, après d'âpres discussions ne parvient pas à trouver une solution. Il abandonne les deux compères à leur problème en leur suggérant de réfléchir eux-mêmes à une solution viable pour les 2 parties.
    C'est alors que le plaignant revient vers lui, en lui faisant la proposition suivante : le propriétaire des poules n'a qu'à leur clouer le bec avec le capuchon d'un stylo bic"...

    2 commentaires
  • Un soir, très tard, dans les années 70, deux Yazghi que je connais bien rentraient chez eux après avoir passé une longue soirée dans la minuscule boutique de mon vieil ami L..., tout en bas de Derb Igagra.
    En arrivant devant l'ancienne place du souk, à l'un des rares endroits éclairés à l'époque, l'un d'eux s'arrêta brusquement.
    "Qu'est-ce qui t'arrive?" lui demanda l'autre.
    "Ben, tu ne vois pas? On ne peut pas passer..."
    "Comment ça, on ne peut pas passer? Il n'y a rien, là, nous sommes sur la route!"
    "Non, on ne peut pas. Attention, n'avance pas, tu vas te blesser."

    La conversation se poursuivit, l'un refusant d'avancer, l'autre disant que rien ne faisait obstacle.
    Le bruit réveilla le gardien Bouazza, qui vint se rendre compte de ce qui se passait.

    Chacun expliqua le problème.
    Le gardien finit par demander à celui qui ne voulait pas avancer de lui montrer précisément ce qui l'empêchait de passer. Et celui-ci désigna...l'ombre d'un poteau électrique qui barrait la route. Il fallut lui faire faire un détour par les boucheries du souk pour que les deux amis pussent rentrer à El Kalaa.

    Inutile de vous dire ce qu'il y avait dans les nombreux cafés qu'ils avaient bu chez L... ou dans les cigarettes qu'ils avaient fumées en jouant à la ronda...

    Auteur: froissart

     

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    Belle histoire de mon cousin Patryck, qui rappelle les années "Hippies"...

    Auteur: menzli

     


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  • Un soir, très tard, dans les années 70, deux Yazghi que je connais bien rentraient chez eux après avoir passé une longue soirée dans la minuscule boutique de mon vieil ami L..., tout en bas de Derb Igagra.
    En arrivant devant l'ancienne place du souk, à l'un des rares endroits éclairés à l'époque, l'un d'eux s'arrêta brusquement.
    "Qu'est-ce qui t'arrive?" lui demanda l'autre.
    "Ben, tu ne vois pas? On ne peut pas passer..."
    "Comment ça, on ne peut pas passer? Il n'y a rien, là, nous sommes sur la route!"
    "Non, on ne peut pas. Attention, n'avance pas, tu vas te blesser."

    La conversation se poursuivit, l'un refusant d'avancer, l'autre disant que rien ne faisait obstacle.
    Le bruit réveilla le gardien Bouazza, qui vint se rendre compte de ce qui se passait.

    Chacun expliqua le problème.
    Le gardien finit par demander à celui qui ne voulait pas avancer de lui montrer précisément ce qui l'empêchait de passer. Et celui-ci désigna...l'ombre d'un poteau électrique qui barrait la route. Il fallut lui faire faire un détour par les boucheries du souk pour que les deux amis pussent rentrer à El Kalaa.

    Inutile de vous dire ce qu'il y avait dans les nombreux cafés qu'ils avaient bu chez L... ou dans les cigarettes qu'ils avaient fumées en jouant à la ronda...

     

    Auteur: froissart

     

     

     

    Auteur: menzli [MPAjouter ce membre dans mes favoris
    Date: le 05 février 2009 à 16h13


    Belle histoire de mon cousin Patryck, qui reflète l'image des années "Hippies"


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