• Course féminine 2010 à SEFROU

    Un reportage de : sandawi [MP]

     

     

     

    Article paru dans Le Matin:

     

    Course féminine de Séfrou
    3.100 participantes à la 1re édition
     Publié le : 08.03.2010 | 07h33
       
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    Par : Abdallah Darkaoui
     
     
     
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    Quelque 3.167 femmes ont pris part à la 1re édition de la course féminine de Sefrou organisée, dimanche, à l'initiative de l'association Widad sportif local, section athlétisme.
     
     
    Cette manifestation sportive initiée sous le signe «De l'espoir sur route», était une occasion propice pour rendre un vibrant hommage à la femme marocaine qui a réussi, entre autres, à se frayer une voie dans la sphère publique du pouvoir, après un si long parcours marqué notamment par la lutte contre la marginalisation, ont affirmé à l'agence MAP les organisateurs.

    «C'est un grand succès pour cette première course féminine qui a réuni, outre des athlètes en herbe professionnelles, des femmes de tous âges ainsi que des jeunes filles relevant de différents établissements scolaires de la ville de Séfrou et sa région», affirment les initiateurs de ce 1er rendez-vous sportif.

    Pour les organisateurs, ce rendez-vous sportif et touristique de la capitale des cerises suivra, sans doute, les traces d'autres manifestations de grande envergure organisées chaque année au Maroc, à l'instar de la course féminine internationale de Casablanca.

    Cette 1-ère course féminine qui s'est déroulée en présence notamment du gouverneur de la province de Séfrou, Abdesslam Zouggar, du président du Conseil provincial, Abdeslam Zeroual, ainsi que d'autres personnalités, a été rehaussée par une grande cérémonie en hommage à des potentialités sportives et grandes figures artistiques et journalistiques.

    Parmi les honorés lors de cette cérémonie, figurent des journalistes hommes et femmes, à l'instar de Soumia Maghraoui, Fatema Aqrot, Ismahane Amor et Hocein Amrani, ainsi que les artistes Souad Nejjar et Abdelkader Moutaâ.

    Un hommage a été, également, rendu à Hamid El Hezzaz, ancien portier de l'équipe nationale de football dans les années 70, Mohamed Samsam, président de la ligue Fès-Boulemane d'athlétisme et Dris El Adel, journaliste et membre du bureau régional du syndicat national de la presse marocaine.
       
      Par MAP

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  • Aménagement des voiries

    Fès: Les chantiers finalisés avant les élections
     
    · 600 km de routes urbaines refaites

    · Un investissement de plus d’un milliard de DH entre 2003 et 2009


    «FÈS a refait 100% de ses routes et voiries entre 2006 et 2009», indique d’emblée Mohamed Zaime, chef du service des voiries à la Commune urbaine. Et d’ajouter que la totalité des routes urbaines a été refaite. Ainsi, «le prochain Conseil travaillera simplement sur l’entretien et l’extension de la ville». De fait, les chantiers réalisés en enrobé, dallage, éclairage et espaces verts au niveau de toute la ville (y compris la médina) ont coûté plus de deux milliards de DH. La moitié de ce montant a servi au déplacement et réparation des réseaux d’eau, d’électricité et d’assainissement, et au réaménagement de près de 600 km de voiries.
    Rappelons que c’est en avril 2006 que la municipalité a lancé son programme de mise à niveau urbaine. Un programme qui vise le renforcement des équipements de base et de loisirs. Selon Hamid Chabat, maire de Fès, le chantier relatif à la réfection des routes et voiries des avenues, des rues et des ruelles a été confié à une vingtaine d’entreprises.

    300 palmiers


    Un budget de 200 millions de DH lui a été réservé dès la première année avec l’objectif d’aménager 140 km de routes urbaines. Ainsi, le premier projet à voir le jour a été celui de l’avenue Hassan-II Allal Benabdellah en ville nouvelle. Situé au coeur de Fès, ce boulevard (70 mètres de large et 2.000 mètres de long) a connu un véritable lifting. Son réaménagement a nécessité près de 80 millions de DH (dont plus de 30 millions de DH pour les voiries). Sur cette enveloppe, près de 10 millions de DH sont destinés à l’éclairage public. Par la suite, l’opération (voiries) a concerné toutes les communes.
    Ainsi, la ville a entamé en 2008 la 2e phase de son programme de réaménagement du réseau routier. Cette deuxième étape a nécessité plus de 12 mois de travaux et coûté près de 400 millions de DH.
    La moitié de cette enveloppe a été financée par un crédit FEC (Fonds d’équipement communal). Outre la voirie, les espaces verts ont été réaménagés. Ainsi, des milliers d’arbustes et plantes florales ont été plantés un peu partout dans la ville. Pour le seul boulevard Hassan II, à titre d’exemple, quelque 300 palmiers sont rajoutés aux 263 déjà existants. Les travaux d’aménagement ont porté notamment sur le désherbage des bas-côtés, l’entretien des places publiques, de l’éclairage et des espaces verts, le curage des cours d’eau et la rectification des routes. Les éclairages ont aussi été entièrement refaits.
    Au menu de la deuxième tranche de l’avenue Allal Benabdellah figurait également le chantier qui a relié la fontaine au rond-point Ennakhil. Le cahier des charges de ce tronçon s’est basé sur la construction des refuges centraux, avec des espaces verts, des fontaines et des cours d’eau. L’objectif est d’assurer la continuité de l’avenue avec les mêmes caractéristiques des travaux déjà entamés. Le projet a été prolongé jusqu’au palais El-Bahiya et le rond-point de l’autoroute. Une double voie est également en cours pour la route de Sefrou.
    Avant la fin de 2008, la ville a poursuivi son programme de réfection des voiries et de restructuration des artères dans sa troisième phase. Ainsi, l’avenue Moulay Youssef a été réaménagée de la place de la Résistance jusqu’au Palais royal de Fès. Les travaux de ce tronçon ont duré près de 6 mois.
    Autre projet réalisé, le réaménagement de l’avenue Moulay Rachid (ex-route de Sefrou). Le projet a nécessité 80 millions de DH. Là aussi, un quatre voies existe bel et bien. Refuge central, espaces verts et fontaines deviennent une réalité. En ce qui concerne l’aménagement de la route d’Immouzzer, il ne sera finalisé que quelques jours avant les élections, confirme le chef du service des voiries de la commune. Et de poursuivre: «Une grande partie du chantier de l’avenue Karaouyine menant vers le Palais Jamai sera achevée avant le festival des musiques sacrées».
    A noter que même les quartiers périphériques ont profité de la métamorphose. A signaler enfin que pour le financement des projets, les élus ont mobilisé l’immobilier sur tous les terrains municipaux. A elle seule, la maîtrise d’ouvrage déléguée à Al Omrane, en ce qui concerne le projet du Champ de course, a alimenté les caisses de la Commune d’un montant global de l’ordre de 800 millions de DH. Autres recettes, la vente des terrains viabilisés du lotissement Aïn-El-Baraka qui a rapporté 200 millions de DH et celle des terrains d’Oued Fès 600 millions de DH. Sans oublier l’apport du Fonds économique communal d’un montant de 300 millions de DH.

    De notre correspondant,
    Youness SAAD ALAMI

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  • EL MENZEL

    El Menzel est la capitale de la tribu (kabilat) Beni Yazgha, qui regroupe de nombreuses communes (Jamaâ) et douars. Les alentours d'El Menzel ne manquent pas d'intérêt touristique. A quelques kilomètres, on découvre les belles et jadis abondantes sources : AIN TINEDRINE, AIN OUAMANDARE et surtout AIN SEBOU qui donne son nom à l'un des plus importants fleuves du Maroc : Oued Sebou qui se jette dans l'océan Atlantique près de la ville de Kénitra. A 51 Km, le mont Bouyblane qui culmine à plus de 3000 m est couvert de neige à partir du mois de novembre. Un projet de grande envergure vient d’être lancé: il s’agit du renforcement et de l'élargissement du boulevard Med V, un projet qui va donner un vrai élan à la ville: El Menzel devrait connaître un mouvement économique, social et culturel.

    El Menzel est devenue une ville qui comprend une population importante, dont une grande partie a quitté les petits villages environnants à la recherche d'une part de l'eau et de l'électricité qui manquent cruellement dans ces villages et d'autre part pour s'approcher des lieux de travail et de scolarité. El Menzel est située à 60 km environ de Fès (précisément au Sud Est) et à 30 km environ de Sefrou (ElMenzel est au Nord Est de Sefrou).

    Comme pas mal de petites villes du Maroc, la population s'est accrue ces dernières années de façon exponentielle sans que les infrastructures suivent. Les crédits de développement font cruellement défaut, les projets d'investissement dans tous les secteurs sont quasi inexistants.

    Source: wikipédia 

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    AHERMOUMOU


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    Ribat El Kheir (en arabe : رباط الخير) est une ville du Maroc. Elle est située dans la région de Fès-Boulemane, perchée en haut d'un relief qui domine la vallée du Zloul, avec vue directe sur le djebel Bou Iblane (3174m, deuxième mont le plus haut du Royaume). Elle s'est appelée naguère Ahermoumou (petit lion).<o:p></o:p>

    La ville est connue pour avoir joué un rôle lors du coup d'état manqué contre le roi Hassan II, le 10 juillet 1971. Des officiers, sous-officiers et un millier de cadets appartenant à la caserne militaire de la ville, commandée par le Colonel Ababou, s'étaient rendus à Skhirat alors que le roi y fêtait son anniversaire, et avaient tiré sur les invités faisant ainsi de nombreux morts et blessés. Le roi décida par la suite de changer le nom de la ville, il choisit le nom de Ribat El Kheir (endroit du bien) et ordonna de fermer la caserne (elle servit par la suite pour des interrogatoires... ). Le mot que l'on n'a pas voulu employer est " punition ". Depuis la ville a souffert économiquement. Les habitants n'ont jamais accepté le nom de Ribat El Kheir et ont toujours continué à appeler leur ville Ahermoumou. Les principales ressources sont l'agriculture et l'élevage.<o:p></o:p>

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    La voie ferrée qui desservait la ville et qui avait été installée en 1925 (rail espacement 60 cm, jonction Birtamtam, 27km de Ahermoumou) a été détruite. Un quartier de Ahermoumou se nomme " La Gare " comme à l'époque où la gare ferroviaire se trouvait encore à cet emplacement.<o:p></o:p>

    Source: wikipédia



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